Patrimoine

 

église
église

L’église

L’église actuelle a été construite sur l’emplacement de l’église du XVIème siècle qui était, en 1890, dans un très grand état de vétusté. Les travaux commencèrent en 1900 pour s’achever en 1903. Les lois de 1905 sur la séparation de l’Église et de l’État ont suspendu l’achèvement intérieur.

 

 

La chapelle de l’Amballon

La chapelle de l’Amballon, dédiée à Saint Théobald, archevêque de Vienne de 957 à 1001, elle fut reconstruite en 1876 et restaurée en 1984.
Il y a peu de temps encore un pèlerinage, chaque lundi de Pentecôte, attirait de nombreux fidèles. On attribuait à l’eau de la source des pouvoirs bienfaiteurs sur la vue (les yeux) des enfants.

 

La grange du Guillolet –

A proximité du village, au hameau du Guillolet, s’élève une grange à trois nefs d’origine cistercienne, dont les éléments de charpente datent du XVI ème siècle. La grange est inscrite à l’inventaire supplémentaire des Monuments Historiques en mai 1993.

 

 

 

 

La halle

Édifiée sans doute à la même époque que le château, la halle a subi au cours des siècles de nombreuses restaurations. Elle reste le symbole de l’importance économique du village.

 

 

 

 

 

 

château

Le château

La construction du château a débuté vers 1268 et fut sans doute achevée vers 1275. En juin 1272, Philippe de Savoie accueille au château le prince Edouard, futur roi d’Angleterre qui rentre de croisades et en novembre 1273 le Pape Grégoire X qui se rend au concile de Lyon. Les travaux furent conduits par l’architecte des Comtes de Savoie, Maître Jacques. Plusieurs châteaux construits au Pays de Galles par Maître Jacques de Saint Georges ont été classés au Patrimoine Mondial de l’UNESCO en 1986, châteaux de Conwy, Harlech, Caernarfon et Beaumaris. Maitre Jacques de Saint Georges est considéré au niveau européen comme l’un des plus grands architectes du Moyen Age.

Une maison du XIIIème siècle

Une maison du XIIIème siècle, située rue de la Serve du Pont, est inscrite à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques en mars 1994. Presque intégralement conservée, elle constitue un exemple significatif de construction en briques dans le Dauphiné médiéval. Elle faisait partie de la cité abbatiale des moines Antonins installés dans le quartier du fond de ville. La rue de la Serve du Pont où se dresse la maison est, avec la rue Marchande qu’elle prolonge, et la rue Grassolière, un des principaux axes à partir duquel s’est organisé l’urbanisme médiéval.